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30 janvier 2008 3 30 /01 /janvier /2008 09:46

Ou comment rendre positive une décision qui pénalise les Meusiens  !!!

En 2007, la Meuse bénéficiait de 1250 emplois aidés. Ces emplois permettanent aux bénéficiaires d'avoir un revenu en contrepartie du travail effectué dans les collecticités et les associations. Une dotation exceptionnelle en fin d'année avait même permis de mieux doter notre département.

Le budget 2008, présenté par le Gouvernement et voté par l'Assemblée nationale en novembre 2007, ramenait le nombre à 580. Cette mesure pénalisait alors les associations, établissements publics, écoles d'une part, mais également les personnes en recherche d'emploi.

Le Député de la Meuse vient de faire savoir  qu'il avait obtenu une dotation complémentaire permettant de maintenir 1070 contrats aidés en 2008.

Conclusion : la Meuse disposait de 1250 emplois aidés en 2007. En 2008, elle n'en n'aura plus que 1070 - La Meuse sera encore oubliée. et les Meusiens pénalisés. 

 

Voir également les articles :

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18 janvier 2008 5 18 /01 /janvier /2008 01:40
 
  • 17/01/2008 : Sombres tropiques (la Polynésie des années Flosse) : un journaliste a disparu à Tahiti en 1997. Suicide, crime passionnel, affaire politico-judiciaire ? L'enquête jette une lumière crue sur le long règne de Gaston Flosse, ancien président du gouvernement de Polynésie française et actuel sénateur UMP.
  • 17/01/2008 : l'ancien directeur de cabinet de la ministre du logement, Jean-Paul Bolufer, a été sommé, jeudi 17 janvier, de quitter l'appartement à bas prix appartenant à la Régie immobilière de la Ville de Paris (RIVP). Pierre Castagnou, président de la RIVP et maire PS du 14e arrondissement, a indiqué que la société d'économie mixte lui avait adressé un "congé par huissier pour inoccupation du logement au titre de la résidence principale, avec injonction de le libérer dans un délai de six mois", bien que son bail ne s'achève qu'en 2009.
  • 15/01/2008 : l'ancien président de l'Union des métiers et des industries de la métallurgie (UIMM) Denis Gautier-Sauvagnac a été mis en examen pour "abus de confiance, recel d'abus de confiance et travail dissimulé" dans le cadre de l'affaire des retraits suspects dans les caisses de l'organisation patronale.
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8 janvier 2008 2 08 /01 /janvier /2008 01:18
Le Président Sarkozy avait fixé un objectif de 25.000 reconduites à la frontière en 2007. Le Ministre annonce  une fourchette entre 23.000 et 24 000. 

Sur France Info, le 7 janvier 2008, le ministre de l'Immigration y a vu la démonstration que les services de police ne s'étaient pas livrés à une "politique du chiffre" à outrance, comme l'affirment des associations. "Face à ceux qui dénonçaient une chasse accrue, des violences exacerbées, la réalité est simple: le chiffre sera globalement celui de l'année dernière", a-t-il insisté.

Le Ministre de l'immigration n'a pas rempli son objectif - je ne m'en plains pas

Par contre, je verrais bien que divers objectifs soient fixés et atteints (voire dépassés, révons un peu) : baisse du chômage, augmentation du pouvoir d'achat, revalorisation du SMIC, arrêt des radiations des demandeurs d'emploi,...

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1 janvier 2008 2 01 /01 /janvier /2008 12:57
Je viens de recevoir le message ci-dessous
30 décembre 2007 à 10h00.

Selon une dépêche de l'AFP, un bébé prénommé Jésus qui tentait d'entrer clandestinement  en Egypte en compagnie d'une femme et d'un homme, Marie et Joseph, lesquels affirmaient être ses parents, a été refoulé par les services de l'immigration, un test ADN ayant révélé que Joseph, l'homme qui prétendait être le père du petit Jésus, n'était pas son père biologique.
Bonne année
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30 décembre 2007 7 30 /12 /décembre /2007 11:58
Je viens de recevoir une plaquette d'information de l'agence de l'eau Rhin-Meuse. Vous savez, c'est l'agence de l'eau qui collecte "la redevance pollution" de notre facture d'eau. A Bar-le-Duc, c'est l'agence Seine-Normandie qui est concernée.
Cette redevance pollution collectée est redistribuée "sous la forme d'aides pour lutter contre la pollution des eaux, collecter et épurer les eaux usées urbaines et industrielles, protéger les res resources en eau, l'eau potable, les milieux aquatiques, la biodiversité, connaître les pollutions, informer, éduquer,..."

Ce serait bien si au passage, l'Etat, c'est à dire le Gouvernement n'avait pas il y a quelques années "ponctionné" quelques milions d'euros aux agence de bassin, au prétexte qu'elles avaient de l'argent disponible. C'est cet argent qui manquera pour assurer ce que j'ai cité plus haut. Ce hold-up a bien été dénoncé par les différents élus, mais il a bel et bien eu lieu. Voir les sites
http://www.maire-info.com/article.asp?param=3599&PARAM2=PLUS
 
http://www.lesverts-lorraine.org/spip/article.php3?id_article=15

http://www.waternunc.com/fr/cridf40_2003.htm collecte les redevances ti_bug_fck
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6 décembre 2007 4 06 /12 /décembre /2007 23:02
Le Sénateur ne manque pas de souffle !!!
5,1 milliards d'€uros : c'est la somme que l'État a dû rembourser, en octobre 2007, au régime général de la Sécurité sociale. Ce montant recouvre des dépenses ou exonérations que le régime avait assumées en son nom jusqu'au 31 décembre 2006. Le remboursement de ces sommes tardait à venir depuis plusieurs années. « S'il faut saluer l'attitude très positive du gouvernement, a indiqué Alain Vasselle (Sénateur de l'Oise, UMP), il faut savoir que la dette a déjà commencé à se reconstituer pour 2007; l'État reste redevable de 1,3 milliard aux régimes. »

Lu dans "Le journal du Sénat" N° 53 de décembre 2007
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2 décembre 2007 7 02 /12 /décembre /2007 00:56
Je viens de recevoir un mail de http://www.educationsansfrontieres.org/

Je ne peux pas le garder pour moi - Je me permets de vous le faire suivre - Il nous invite à regarder Immigration clandestine: vivre avec la peur à l'adresse http://programmes.france3.fr/pieces-a-conviction/36819612-fr.php     Bravo à France 3 et Elise Lucet

"Les clandestins seraient entre 200 et 400 000 en France, et aujourd'hui, ils vivent avec la peur au ventre. Sortir dans la rue, aller chercher ses enfants à l'école, faire ses courses, ces gestes quotidiens sont devenus une angoisse permanente. Mais pour la plupart, s'ils n'ont pas de titre de séjour valable, ils sont malgré tout bien intégrés. Leurs enfants vont à l'école, et sont même parfois français. Encore plus absurde, une grande partie de ces « expulsables » ont un contrat de travail en bonne et due forme, ils paient même leurs cotisations sociales ! Car, l'économie française a besoin de ces employés. Ainsi certains secteurs entiers seraient menacés sans l'apport de main d'ouvre que représentent ces travailleurs illégaux !"

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20 novembre 2007 2 20 /11 /novembre /2007 22:21
Appel commun des organisations syndicales de la Meuse CFDT- CGT - FO- FSU - UNSA

Les organisations syndicales CFDT, CGT, FO, FSU et UNSA constatent la baisse significative du pouvoir d'achat et la détérioration de l'emploi dans la Fonction Publique.

- Elles exigent une augmentation significative de la valeur du point d'indice pour un réel maintien du pouvoir d'achat.

- Elles refusent les suppressions massives de postes dans les 3 Fonctions Publiques (État, Hospitaliers, Territoriaux) qui nuisent fortement aux conditions de travail et à la qualité du service public rendu.

- Elles demandent l'ouverture de négociations immédiates

Pour appuyer leurs revendications, les organisations syndicales CFDT, CGT, FO, FSU et UNSA appellent à manifester mardi 20 novembre 2007 à BAR-LE-DUC à 14 h 30 - parking du Hall des Brasseries.

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15 octobre 2007 1 15 /10 /octobre /2007 19:27
François Fillon : "La réforme de l'État supposera que chacun d'entre nous accepte qu'il y ait moins de services, moins de personnel, moins d'État sur son territoire."

François Fillon a donné sa vision de la réforme de l'État devant un parterre d'élus UMP du courant libéral, Les Réformateurs. Le Premier ministre a souligné que “la réforme de l'État générale qui satisfait tout le monde mais qui ne se traduit par aucune suppression d'aucun établissement sur le territoire, ça n'existe pas”. Il a été largement applaudi. (10 octobre 2007, AFP)

Les territoires les plus fragiles (la Meuse par exemple) vont encore souffir un peu plus. Voyons maintenant quels seront les établissements qui vont être supprimés dans la Justice, l'Education nationale, ANPE, Trésor public,... Et la Poste,...
Que la Droite locale ne vienne pas dire qu'elle ne savait pas : des élus UMP du courant libéral, Les Réformateurs ont été témoins de la déclaration (et en plus ils ont applaudi !!!).
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11 octobre 2007 4 11 /10 /octobre /2007 23:04
Plus personne ne le conteste maintenant : le nuage de Tchernobyl a bien traversé la France en avril 1986. mais il a fallu 20 ans pour que ce mensonge d'Etat soit enfin reconnu  - à l'époque, on nous aurait donc menti.

Depuis quelques jours, c'est  le tour du pyralène (nom commercial des PCB), qui apparait à la surface de l'actualité (et dans les profondeurs de nos grands fleuves). Et c'était déjà connu depuis 1986 (mais interdit à la publication pour le grand public). Aujourd'hui, on s'interroge pour savoir si il faut dépolluer ces rivières et fleuves - mais on ne le fera peut-être pas car les opérations de dépollution risqueraient (aussi) de disperser la pollution actuellement enfouie dans les sédiments !!!

Décidément 1986 a été une grande année dans le mensonge !!!
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8 octobre 2007 1 08 /10 /octobre /2007 15:25
Nicolas Sarkozy a accordé en juillet 15 milliards d’euros de cadeaux fiscaux, Et vous, qu’avez-vous reçu ?
- J’ai gagné 250.000 euros par an car je fais partie des mille contribuables disposant d’un patrimoine financier supérieur à 15 millions d’euros qui ont bénéficié du « bouclier fiscal ».
- Je paierai beaucoup moins d’impôt sur la fortune (ISF) (Passage de 20 % à 30% de l’abattement sur la valeur de la résidence principale).
- J’ai gagné 200.000 euros car je viens d’hériter avec ma sœur d’1,5 millions d’euros et les successions de ce niveau ne sont désormais plus imposées.
- RIEN, et pourtant, j’appartiens à « la France qui se lève tôt » à laquelle Nicolas Sarkozy a tant promis pour se faire élire…

Sarkozy, c’est : pas de cadeaux pour « la France qui se lève tôt »

Et maintenant, qu’allez-vous payer ?
Ce sont les Français qui vont devoir régler « cash » les 15 milliards de cadeaux fiscaux du mois de juillet. Le gouvernement lui-même expliquait voici quelques mois qu’il fallait 3 % de croissance en 2008 pour absorber « le paquet fiscal ». Aujourd’hui, tous les économistes en France comme en Europe tablent sur une croissance en France inférieure à 2 %.

La facture, ce sera :
- Création de « franchises médicales » sur les consultations, les médicaments, les examens, les analyses…
- Augmentation de la TVA (baptisée TVA sociale) ;
- Transfert de charges vers les collectivités locales non compensées par l’État, qui contraignent à l’augmentation de la fiscalité locale ;
- Hausse prévisible de la CRDS (contribution au remboursement de la dette sociale) ;
- Suppression de 23 000 postes de fonctionnaires ;
- Augmentation des tarifs publics et abandon au secteur privé de services publics comme GDF ;
- Baisse du pouvoir d’achat pour tous, abandon des promesses (par exemple l’augmentation de 25 % du minimum vieillesse).

Le pouvoir d’achat, il ne faut pas en parler, il faut l’augmenter !
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7 octobre 2007 7 07 /10 /octobre /2007 21:05
Parce qu'il est moralement inacceptable, l'amendement dit "Mariani" ne doit pas être adopté par notre représentation nationale.
Des personnalités de tous horizons, de tous bords politiques (de Dominique de Villepin à Olivier Besancenot !) et, ce qui est plus important encore, une foule immense d'anonymes ont déjà signé la pétition lancée par Charlie Hebdo. Nous ne voulons pas d'une société qui mettrait "les critères biologiques au sein de l'intimité des couples" (Axel Kahn) !
Quelle Histoire cela fait émerger !

Et François Fillon considère qu'il s'agit seulement d'un "détail" !!!

Pour exiger le retrait de ce projet de loi ignoble, signons tous, si ce n'est déjà fait, la pétition :
http://www.touchepasamonadn.com/

Humainement vôtre,
Roland Corrier
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4 octobre 2007 4 04 /10 /octobre /2007 11:11

Vœu d'urgence déposé par Roland CORRIER  -  séance plénière du Conseil général de la Meuse le 4 octobre 2007

La présidence du CLIS proposée à Christian Bataille

Monsieur le Président,

Nous apprenons par l’Est Républicain que vous avez proposé au Député du Nord Christian Bataille la présidence du CLIS de la Meuse dont le rôle est d'informer la population sur les activités du laboratoire

Il est paradoxal que la communication de cette décision soit faite à l’occasion d’une conférence de presse 48 heures avant la tenue de la séance plénière du Conseil général de la Meuse alors que ce sujet n’a jamais fait l’objet d’un débat et a fortiori d’un vote au Conseil général.

Si un Président du Conseil général ne souhaitait pas assurer la présidence de cette structure (ce qui n’a jamais été évoqué dans notre assemblée), vous auriez pu faire appel (après débat et avis de notre assemblée) à une personnalité meusienne ou haut-marnaise dont la neutralité et la connaissance des sensibilités de notre territoire aurait été unanimement reconnue.

Aussi, nous tenons à nous démarquer vivement de votre décision.

 

---------

DELIBERATION :
M. LE PRÉSIDENT : Ma réponse sera très claire et se situera à deux niveaux.
Premièrement, le voeu indique : " Nous apprenons par l’Est Républicain". Vous me permettrez de me porter
totalement en faux contre le contenu de cette phrase. Au cours de la réunion privée du Conseil Général
organisée à la Mairie de Verdun, j'ai indiqué, au titre des questions diverses, que j'avais contacté Christian
BATAILLE pour lui demander de prendre la présidence du CLIS.

Deuxièmement, je réunis régulièrement les Présidents de Groupe. J'ai annoncé cette décision lors de la
réunion des groupes du 10 septembre. Cela étant, la loi du 28 juin 2006 confie aux Présidents, et
exclusivement, des Conseils Généraux de la Haute-Marne et de la Meuse la responsabilité de désigner le
Président du CLIS de Bure.

 

Cette procédure s'appuie donc sur la loi. Elle n'engage que les seuls Présidents et n'appelle pas de
délibération des instances exécutives. En conséquence de quoi, conformément à ce processus, la mise en
place du nouveau CLIS qui doit être finalisée avant la fin du mois de novembre a été engagée.
Après discussions ou consultations, Bruno SIDO et moi-même avons demandé à Christian BATAILLE et à
Claude BIRRAUX s'ils étaient intéressés à prendre la présidence du futur CLIS pour lui donner une
envergure différente de celle que nous avons connue jusqu'à aujourd'hui.

 

Après que Christian BATAILLE et Claude BIRRAUX se soient concertés, en leur nom, Christian BATAILLE
nous a informés qu'il était prêt à assumer cette responsabilité dans un contexte d'animation d'une instance
d'information de l'ensemble des Meusiens et Hauts-Marnais. Je n'ai aucun souci sur cette nomination. Je
pense que nous ferons du bon travail avec Christian BATAILLE.

 

M. CORRIER : Cela n'enlève rien à mon propos.
M. LE PRÉSIDENT : Vous n'avez pas la parole.
M. CORRIER : Je la redemanderai après le débat.
La parole est à M. LHUILLIER.
M. LHUILLIER : Je me suis associé à la déclaration de Roland CORRIER.
Monsieur le Président, s'agissant de l'information, en effet, vous avez livré des informations conditionnelles. De mémoire, Christian BATAILLE n'avait pas encore donné sa réponse. L'information officielle est donc bien parue dans la presse avant d'être livrée au Conseil Général. C'est montrer bien peu de respect envers l'Assemblée et les Conseillers Généraux que de procéder ainsi. Mais c'est de votre responsabilité.
S'agissant de la responsabilité institutionnelle du choix du Président du CLIS, de par la loi, il vous appartient avec le Président du Conseil Général de la Haute-Marne de prendre cette décision. Nous tenons à dire deux choses. D'une part, que nous aurions souhaité un processus un peu plus participatif et démocratique, c'est-à-dire l'organisation d'un débat pour recueillir l'avis des Conseillers Généraux, ne serait-ce qu'en commission ou en séance privée. Cela n'a pas été fait. Par ailleurs, nous tenons à nous démarquer officiellement de votre position. Il s'agit bien d'une décision prise par le Président et non par l'Assemblée.
M. LE PRÉSIDENT : Aux termes de loi, c'est le Président qui désigne le Président du CLIS.
M. LUX : Je note que, institutionnellement, c'est de votre pouvoir. Je ne discute donc pas. J'ai suffisamment été critique à l'égard de la procédure qui a prévalu à la création du laboratoire de Bure
pour dire, quand j'approuve une décision, que je l'approuve clairement. J'approuve la proposition qui a été
faite à Christian BATAILLE, non pour faire plaisir à Christian BATAILLE que je connais très bien, mais pour l'impact qu'aura sa présidence. Ses critiques, propositions et contre-propositions participeront à l'efficacité du CLIS. Je connais Christian BATAILLE et son côté expansif. Il sera ou non d'accord sur ce qui sera dit au sein du CLIS, mais il aura, à mon sens, l'honnêteté intellectuelle de porter le débat à l'échelon national tant il est vrai que le centre d'enfouissement de Bure est un problème national. À ce titre, j'approuve, M. le Président, votre proposition. Introduire un peu d'ouverture dans le département de la Meuse ne me gêne pas du tout.
M. LE PRÉSIDENT : Je vous remercie.
Avant de clore le débat, je voudrais dire à notre collègue, Arsène LUX, que j'apprécie sa démarche, lui qui a toujours fait preuve de beaucoup de réserve sur ce dossier.
La discussion que j'ai eue avec Christian BATAILLE et Claude BIRRAUX, puisque nous n'avons pas désigné
l'un ou l'autre – ils ont décidé entre eux – a porté le CLIS sur un plan beaucoup plus national que local.
Je suis tout de même étonné, permettez-moi de le dire, que l'opposition de Gauche ne fasse pas confiance à
un Député de Gauche pour gérer le problème. J'espère que cela va relancer le débat !
M. LHUILLIER : Notre opposition n'est absolument pas politique. La seule remarque politique que j'avance
est pour dire : c'est bien joué ! Des Présidents de Droite n'ont pas envie de s'embêter avec le CLIS – je
regrette de le souligner, mais c'est quand même de cela qu'il s'agit – et le refilent à un élu de Gauche !
M. LE PRÉSIDENT : "Profiter", non "refiler" !
M. LHUILLIER : Notre position est guidée par le fait que localement, sur le plan meusien, haut-marnais,
voire lorrain ou champardennais, des élus de proximité étaient à même d'assurer cette présidence.
M. LE PRÉSIDENT : Étiez-vous candidat ?
M. LHUILLIER : Pas du tout ! On ne me l'a pas proposé !
M. LE PRÉSIDENT : Alors que j'ai évoqué le problème le 10 septembre à Verdun en séance du Conseil
Général, pas un seul d'entre vous n'a formulé de contre-proposition. Pardonnez-moi, mais vous êtes mal
placés aujourd'hui pour dire que le choix retenu par Bruno SIDO et moi-même est contestable.
Je fais confiance à Christian BATAILLE pour élever le niveau du CLIS, ce qui n'a pas été le cas jusqu'à
maintenant ; je fais confiance à un homme de Gauche comme j'aurais fait confiance à Claude BIRRAUX,
puisque ces deux personnalités ont été sollicitées. Vous ne faites pas confiance à Christian BATAILLE ; je
lui dirai au moment voulu. Je vous remercie.
M. LUX : J'ajoute que la loi BATAILLE, la loi initiale de 1991, comportait dans ses premières propositions le
traitement des déchets nucléaires. Y figurait la phrase – je la cite de mémoire : En vue d'un enfouissement
réversible ou irréversible. Quatre ou cinq ans après, Christian BATAILLE a pris nettement position en faveur de l'irréversibilité du stockage ou de l'enfouissement à venir. Ce sont des mots. Il n'est pas neutre que le Président du CLIS qui a pris officiellement et institutionnellement cette position puisse continuer de la porter au niveau national. Dans la mesure où il est parlementaire pour au moins encore quatre ans, je crois que c'est une bonne chose pour le territoire meusien que cette éventualité de l'irréversibilité soit définitivement écartée.
M. LE PRÉSIDENT : C'est une décision importante. Nous l'avons gérée avec Bruno SIDO d'une façon
normale, régulière en appliquant la loi. Vous contestez, c'est votre droit, mais vous mettez en doute la qualité et l'honnêteté de Christian BATAILLE.
("Mais non !" et protestations sur les bancs du Groupe des Élus de Gauche).
Mais si ! Vous contestez, c'est votre droit. Cela ne vous plaît pas.
(Protestation de M. LHUILLIER).
C'est scandaleux, toujours de grands gestes, M. LHUILLIER. Dès que nous ne sommes pas d'accord avec
vous, c'est votre seul moyen de défense : de grands gestes ! Alors, sortez de la salle comme vous le faites
habituellement ! Vous ne le faites pas aujourd'hui ? Je suis étonné. À votre place, je me lèverai, je
contesterai les décisions du Département ! Ce n'est pas grave, je suis habitué avec votre opposition : elle
n'est pas très constructive, plutôt négative en la circonstance. J'en prends acte. Je le répercuterai à qui de
droit en temps voulu.
Nous revenons au débat. La parole est à M. CORRIER, l'auteur du voeu.
M. CORRIER : La réversibilité ou l'irréversibilité est un rideau de fumée tiré devant le problème posé.
M. LE PRÉSIDENT : Je vous coupe la parole, car tel n'est pas l'objet du débat. Merci.
M. CORRIER : On voit dans quelles conditions vous traitez vos interlocuteurs.
M. LE PRÉSIDENT : La parole est à M. PICART.
M. PICART : Je rebondis sur les propos de M. LUX et sur son rappel historique qui date de 1991 avec
l'instauration de la loi BATAILLE. Deux sites à étudier, enfouissement irréversible ou réversible, avec une
bataille parlementaire pour abandonner l'idée d'irréversibilité.
M. LE PRÉSIDENT : On ne va pas revenir sur le débat sur Bure !
M. PICART : Il vous appartient de décider si vous me coupez ou non la parole. Je dis tranquillement les
choses.
Nous avons reçu ici même la visite de Christian BATAILLE. On ne peut dire le contraire, c'est ainsi !
Il y a un engrenage du Laboratoire de recherche sur l'enfouissement irréversible. Nous avons entendu
Christian BATAILLE voilà trois ans, ici même. Nous avons débattu, nous l'avons questionné. Sans intenter
un procès à qui que ce soit – ce n'est pas une question d'ouverture –, à partir du moment où Christian
BATAILLE pense plutôt à l'irréversibilité, je ne suis pas trop favorable à sa candidature. Voilà ! Ce n'est pas une question d'homme, mais d'orientation politique et de loi qu'il a votée. Il a combattu les amendements. Ce n'est pas une affaire politicienne.
M. LE PRÉSIDENT : Sur la question de la nomination de Christian BATAILLE, Pierre PARISSE, vous avez
la parole.
M. PARISSE : Je suis navré de constater que des questions dites d'urgence n'en revêtent pas le caractère.
Je fais observer que j'ai voté contre l'urgence de cette proposition. Je vous propose d'organiser des séances spéciales de questions d'urgence, où nous parlerons de tout, sauf des affaires du Département. Je souhaite que nous revenions rapidement à l'ordre du jour. À seize heures, je quitterai les lieux.
M. LE PRÉSIDENT : La parole est à Mme MALFAIT-BENNI.
Mme MALFAIT-BENNI : Le fonctionnement du CLIS a souvent été mis en cause dans les différentes
interventions. J'espère, quant à moi, que Christian BATAILLE arrivera à mobiliser toutes les personnes ayant voix délibérative en assemblée générale. Je rappelle que le CLIS a connu des difficultés de fonctionnement, car les personnes qui avaient voix délibérative ne se déplaçaient pas et ne donnaient pas de pouvoir. Merci à tous ceux qui ont une voix, soit de venir, soit de donner procuration.
J'espère que M. BATAILLE arrivera à mobiliser tout le monde.
M. LE PRÉSIDENT : Le débat est clos sur ce voeu.

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3 octobre 2007 3 03 /10 /octobre /2007 09:46
Je viens de découvrir un document de l'ANPE particulièrement ambigüe ; j'en fais la copie ci-dessous :
Votre projet personnalise d'accès à l'emploi
Suite à l'entretien du xx/xx/07
Monsieur,
Nous venons d'élaborer ou d'adapter en commun votre projet personnalisé d'accès à l'emploi. Ensemble, nous avons pu établir le domaine de compétences et la fonction dans lesquels vous souhaitez retrouver un emploi, ainsi qu'une stratégie adaptée à vos objectifs. Vous trouverez ci-dessous un résumé de nos échanges lors de cet entretien.
Vous recherchez un emploi de xxxxxxxxxxxxxxxxx
Le salaire minimum que vous acceptez est de xxxxx euros bruts horaires
Votre mobilité géographique maximale est de xxx km
Afin d'accélérer votre retour à l’emploi, nous avons déterminé ensemble les actions suivantes :
Etre dispensé de recherche d’emploi
Notre entretien nous permet de préciser les points suivants :
Vous allez faire une demande de dispense de recherche d’emploi au Assedic.
Vous avez rendez-vous avec le médecin de main d’oeuvre Docteur xxxxxxx le xx xxxxxxx 2007 à xxHxx

Si vous êtes toujours inscrit(e) comme demandeur d’emploi dans trois mois, sachez que vous bénéficierez d’un suivi mensuel personnalise. Ce suivi vous permettra, chaque mois, de faire le point avec le conseiller qui vous accompagnera tout au long de votre recherche. Avec lui, vous serez en mesure d’effectuer un point régulier sur les offres d’emploi existantes, vos difficultés et les nouvelles actions à envisager pour assurer au plus vite votre retour à l’emploi.
Le cas échéant, vous recevrez un courrier vous confirmant votre inscription au suivi mensuel personnalise et précisant l’heure et la date de votre premier rendez-vous.
D'ici là, je vous souhaite de rencontrer le succès dans votre démarche de retour à l’emploi.

signé : le conseiller à l’emploi
-------------------------------------
Comprenne qui pourra la phrase : Afin d'accélérer votre retour à l’emploi, nous avons déterminé ensemble les actions suivantes : Etre dispensé de recherche d’emploi
ambigug_fck
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29 septembre 2007 6 29 /09 /septembre /2007 21:38
Je viens de relever dans la revue "Le mensuel du Gouvernement" d'octobre 2007 : "La recherche d'un logement étudiant relève du "parcours du combattant". Le sujet a été ouvert à la veille de la rentrée par Valérie Pécresse, qui veut dresser un bilan très complet du plan Anciaux de 2003 pour en identifier les dysfonctionnements. Ce rapport prévoyait la construction de 5.000 chambres universitaires par an pendant dix ans. Or le rythme des constructions est bien inférieur (1.800 logements en 2005)."
Combien de retard s'est accumulé et qui était donc au Gouvernement dans des postes importants pendant la période 2003 - 2007 ?
Voir le site communautaire de l'immobilier
Voir également le réseau des asso étudiantes


bug_fck
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19 septembre 2007 3 19 /09 /septembre /2007 21:43
Arrêt sur images - l'émission "virée" de la télé revient sur le net

Date: Wed, 19 Sep 2007 10:53:02 +0200
De: Daniel Schneidermann <<a href="mailto:daniel.schneidermann@arretsurimages.eu">daniel.schneidermann@arretsurimages.eu>
À: asi@arretsurimages.eu
Objet: Le saviez-vous ? Le Lay et Mougeotte bientôt
en correctionnelle...

Le saviez-vous ? Deux anciens dirigeants de TF1, Patrick Le Lay et Etienne Mougeotte, comparaîtront bientôt devant le tribunal correctionnel d'Alès (Gard), pour violation et recel du secret de l'instruction.

Le Droit de savoir (TF1) avait filmé, et diffusé, les aveux d'assassins présumés, devant les gendarmes.

Même TF1 ne peut pas tout se permettre !

Le saviez-vous ? La direction de l'AFP a dû modifier un titre de dépêche sur pression du cabinet de Xavier Darcos, ministre de l'Education. Il s'était un peu trop avancé sur une éventuelle réforme du bac ? Qu'à cela ne tienne, l'AFP change son titre.

Le saviez-vous ? Non.

Vous ne le saviez pas, parce que les medias détestent parler des dérapages des medias.

Voilà pourquoi nous avons décidé de recréer Arrêt sur images sur le Net : pour que vous sachiez comment les medias vous informent... ou ne vous informent pas.

D'ores et déjà, notre site provisoire vous attend ( http://arretsurimages.net ).

Et pour que nous puissions enquêter en toute indépendance, notre première source de financement, ce sera... vous.

En cinq jours, vous avez déjà été plus de 10 000 à vous abonner. Si ce n'est pas encore fait, abonnez-vous dès aujourd'hui ( sur http://arretsurimages.net/abonnement ). Plus vous serez nombreux, plus vous nous permettrez de construire un site définitif, indépendant et complet.

Egalement au sommaire de cette première semaine de notre site provisoire :

Pourquoi dit-on « on a gagné », mais « ils ont perdu » ? Sebastien Bohler vous l'explique.

Les 20 Heures de TF1 et France 2 ont prêté (sans complexe) leur antenne au déménagement médiatique (sans complexe) de la ministre Christine Boutin à Lyon. Si vous les avez ratés, ne manquez pas le montage - rattrapage d'Aurélie Windels.

Enfin, Elisabeth Lévy fâche (déjà) quelques uns de nos premiers abonnés en écornant l'icône Jacques Martin.
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10 septembre 2007 1 10 /09 /septembre /2007 09:46
En discutant avec les professionnels de GDF de Bar-le-Duc qui améliorent la sécurité de la distribution du gaz dans mon quartier, j'ai appris que les services de Gaz de France, actuellement basés à Bar-le-Duc allaient être attachés à l'unité de Saint Dizier.

Quand on sait que les incidents sur les canalisations et conduites de gaz doivent être pris en charge dans les meilleurs délais, on mesure encore plus le risque (dû au délai d'intervention) pour les personnes concernées et les équipes chargées de ce service.

Encore un service public qui s'en va... plus loin.
ti_bug_fc
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5 septembre 2007 3 05 /09 /septembre /2007 22:25
P9030013-1.JPGLe 5 septembre, Madame l'Inspectrice d'Académie m'a informé qu'elle avait décidé de ne pas réouvrir la classe dont la fermeture avait été décidée en février dernier.

Cette décision est dommageable pour l'école et pour les enfant des classes maternelles qui vont être nombreux avec des écarts d'âge importants.

Mais c'est bien le résultat d'une pénurie décidée et organisée par le Gouvernement Sarkozy-Fillion. On voit maintenant sur le terrain la conséquence de la baisse des fonctionnaires décidée en haut lieu.

Les parents d'élèves avaient déployé des banderolles sur la grille de l'école pour informer et alerter la population de Longeville et les automobilistes de passage.

P9030014-1.JPG
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15 août 2007 3 15 /08 /août /2007 00:10

Comment inciter les clients à faire leurs courses le jour du 15 août 2007 ?

Il suffit de faire comme Auchan qui distribue des bons de réduction de 6 € à valoir sur un achat de 60 € - le bon étant seulement valable le 15 août 2007 !!!

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27 juin 2007 3 27 /06 /juin /2007 22:00
En janvier - février, l'Inspection d'Académie avait annoncé son son projet de supprimer une classe dans le groupe scolaire de Longeville.
Les parents d'élèves se sont mobilisés avec l'équipe enseignante pour recenser les familles susceptibles d'inscrire leurs enfants à la rentrée de septembre 2007. Ils ont communiqué ces informations à l'Inspectrice d'Académie.
Lors du CDEN, aucune décision définitive quant à la situation de Longeville n'a été prise, cette décision a été reportée au 26 juin.


Afin de sensibiliser les parents, les habitants de Longeville et des environs au risque de fermeture de cette classe, les parents ont décidé, à la suite du Conseil d'école de fin juin d'organiser une manifestation devant l'école.
















Lors des entrées & sorties des classes le 22 juin, les parents ont distribué des tracts d'information ; les élus de Longeville (André Wéber, Maire - Danielle Bouvier, 1ère adjointe, ainsi que d'autres élus), Roland Corrier, conseiller général ont distribué ces documents aux automobilistes de passage - voir la vidéo de la Dépèche Meusienne









Voir la vidéo http://vpod.tv/VersionOriginale/241311

ainsi que quelques photos.

Le 28 juin, j'ai appelé l'Inspectrice  d'Académie qui m'a précisé qu'elle ne prendrait sa décision que le jour de la rentrée en septembre après avoir eu connaissance du nombre exact d'enfants inscrits. Dossier à suivre, bien évidemment.
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